lundi 25 octobre 2010

Grrrrrr

Juste envie de pousser un coup de g. En ce moment je cherche un stage de deux mois en librairie, stage qui validera mon DUT (Information-Communication option Métiers du Livre). Je me suis rendue dans une librairie (dont je ne citerai pas le nom), CV, lettres de motivation et de recommandation en main et j'ai obtenu la réponse suivante : « non ». La raison ? « On ne prend aucun stagiaire, c'est la politique de la maison. Le gérant est contre le principe des stages. » Là va falloir qu'on m'explique. Comment veulent-ils que la profession de libraire (qui tend à disparaître soyons honnêtes)(merci le livre électronique) se renouvelle s'ils ne nous permettent pas à nous, jeunes et vaillants futurs petits libraires, de nous former « sur le terrain » ? Voilà comment encourager la disparition d'une profession. Bravo. Ceci n'est que mon humble avis. Je retourne à ma recherche (de stage, pas celle du temps perdu).

Edit : j'ai peut-être trouvé un stage ! Hip hip hip … pas encore hourra, j'attends d'être sûre. Le big boss n'était pas là, mais aucun demandeur de stage ne s'est présenté avant moi et mon dossier est béton (hihihi) donc je touche du bois, je croise les doigts.



Keeping my eyes closed


C'est tombé comme une bombe. Sans alerte. J'en suis encore tellement perturbée que je suis même pas foutue d'en parler ailleurs qu'ici. Pas envie de le dire à voix haute, pas envie que ça prenne du sens, de l'importance. Oui, c'est lâche, mais c'est ma façon d'appréhender les choses au début. Je repousse sans cesse le moment où j'en parlerai. Pour l'instant j'ai l'intention que ça reste dans un coin de mon esprit, bien sage, bien tranquille. J'ai toujours pensé que je serais entourée pour traverser ce genre de situation, mais plus maintenant. Ok j'en parle pas, mais pourquoi ? Est-ce qu'ils comprendraient ? Est-ce qu'ils sauraient me rassurer ? Je veux pas de pitié surtout. Alors j'attends. Avec beaucoup de chance ça passera. J'aimerais pouvoir relire cet article dans quelques mois et me demander pourquoi j'ai écrit ça. J'aimerais oublier. 

jeudi 21 octobre 2010

That's what real love amounts to - letting a person be what he really is. J. Morrison

Lalalalalala...

Now that I've lost everything to you 


You say you wanna start something new 
And it's breakin' my heart you're leavin' 
Baby, I'm grievin' 
But if you wanna leave, take good care 
Hope you have a lot of nice things to wear 
But then a lot of nice things turn bad out there 

Oh, baby, baby, it's a wild world 
It's hard to get by just upon a smile 
Oh, baby, baby, it's a wild world 
and I'll always remember you like a child, girl

You know I've seen a lot of what the world can do 
And it's breakin' my heart in two 
Because I never wanna see you sad, girl 
Don't be a bad girl 
But if you wanna leave, take good care 
Hope you make a lot of nice friends out there 
But just remember there's a lot of bad and beware 

Oh, baby, baby, it's a wild world 

It's hard to get by just upon a smile
Oh, baby, baby, it's a wild world 
and I'll always remember you like a child, girl

Lalalalala....

Baby, I love you 
But if you wanna leave, take good care 
Hope you make a lot of nice friends out there 
But just remember there's a lot of bad and beware 

...

samedi 16 octobre 2010

Se souvenir des belles choses



C'est ce code pin chaque fois que j'allume mon téléphone.
Ce sont ces photos sur mes murs, ces objets éparpillés dans ma chambre.
Ce sont ces chansons, ces films, ces livres.
C'est ce bracelet dans ma trousse.
Ce sont ces petits mots sur mes murs, mes tiroirs, mes carnets.
Ce sont ces peluches.
Ce sont ces chaussures.
Ce sont toutes mes petites habitudes qu'elle commentait.
Ce sont tous ces endroits dans lesquels on se rendait ensemble.
Ce sont toutes ces promesses que l'on ne tiendra finalement pas.
Ce sont tous ces rêves qui ne se réaliseront pas.
Ce sont ces dates qui reviendront me hanter chaque année.

Ce sont tous ces souvenirs qui me rappellent que tu m'as aimé. Oui, un jour j'avais une place dans ton coeur. Et le lendemain...

Combien de fois ai-je eu l'envie de t'envoyer un message pour te dire : «Oh, j'ai vu ça, ça m'a fait penser à toi... » ou bien «Écoute la radio, cette chanson...»

C'est cette envie, au même instant d'écrire, de faire un bilan.

jeudi 7 octobre 2010